<< Maximiliam ? Pourquoi est-ce que tu vis ? >>.

Maximiliam M. Keldermann

« Eh, toi. Je te mords la joue. »

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PRENOM(S): Maximiliam ; Marvin. NOM : Keldermann. AGE : 17 ans. ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuelle à tendance hétéro. GENRE : Vocaloid. POUVOIR(S) : Heu... Mordre ? Télépathie. Violence surnaturelle.

Je suis...Je veux...J'étais.

CARACTERE : Lui ? Comment est, plus exactement, Maximiliam ? Ne l'appelez jamais Max. Il déteste ça. Son nom, c'est Maximiliam, et rien d'autre. Pour vous prévenir, c'est surtout car il s'énerve très vite et qu'il est très violent qu'il faut le connaître avant de dire n'importe quoi. Peut-être qu'un jour, qui sait, il acceptera que quelqu'un de proche l'appelle comme il le veut. Associable et solitaire, il est agoraphobe, donc, la foule, les gens, ce genre de trucs, ce n'est pas son hobbie. Ce qu'il aime faire, c'est dessiner. Dès qu'il en a la possibilité, il le fait. Une manière de dégager sa colère et sa haine envers le monde qui l'entoure, peut-être. Silencieux, discret et réservé, on le prendrait pour un timide, et, pourtant, lorsqu'il vous connaîtra, rien ne l'empêchera de se montrer plus extraverti qu'il ne semble. Ce caractère lui vient sûrement de son père, qui avait toujours été quelqu'un de très calme, qui ne parlait pas souvent. Tandis que, ses coups et sa psychologie violente lui viennent probablement de sa mère. Maximiliam ne peut jamais se retenir. Lorsqu'il pense quelque chose tout bas, il le dira tout haut dans la seconde qui suivra. Cela dit, ce n'est pas un bavard, comme dit plus haut. Cela lui est déjà arrivé, rarement, d'être intimidé par quelqu'un, mais, c'est le plus souvent lui, si étrange et incompréhensible dans ses faits et gestes, qui est intimidant.

PHYSIQUE : Des cheveux noirs comme les corbeaux, aux reflets légèrement châtain foncé, font de sa tête toute ébouriffée quelque chose d'agréable à voir. Ces cheveux, ils sont épais et toujours en bataille, jamais coiffés. Il n'aime pas les brosses. Maximiliam, il n'aime pas prendre soin de ses cheveux. Ils lui rappellent trop sa mère. Son teint, pâle comme de la porcelaine, devient rosé en hiver, ce qu'il déteste. Ses yeux, gris foncés, se confondent avec le noir abyssale lointain, et ont toujours un regard blasé sur le monde. Ce monde si dur à regarder, ce monde que Maximiliam ne comprend pas. Son style vestimentaire n'est pas très original, même si, quand on le voit... C'est un original. Ce serait vraiment difficile à décrire, mais le garçon s'habille en fonction de son humeur et non de ses envies. Comme si, inconsciemment, il choisissait ses vêtements. De taille moyenne, il mesure 1m80, mais est plutôt mince. Poids : underfined. No Comment. It's a dossier secret.

HISTOIRE : Son père. Miguel Keldermann. Quelqu'un de persévérant, de modeste et qui était facilement admirable. Pour cause, il était ambitieux et aussi sympathique que n'importe quel Lui. Des yeux doux et un regard rêveur qui ont fait oublié que, Solène Michter était aussi violente qu'on le voyait. Sa mère. Solène Michter, donc. Une petite femme brune aux longs cheveux et aux yeux noirs. Un noir intense qui vous fouillait le regard et vous tuait d'un simple mouvement de pupille. Violente et constamment irritée, sa vie changea lorsqu'elle rencontra Miguel. Ce fut le coup de foudre. Oui, celui des films à l'eau de rose, exactement le même. Ils se marièrent si vite qu'on se demanda si leur histoire allait vraiment durer. Etonnemment, quelques années plus tard, naquit leur premier enfant. Ils l'appelèrent Maximiliam. Et pourquoi pas, ils lui donnèrent un second nom, Marvin, qui lui était parvenu de son grand-père maternel. Ils vécurent, tous trois, heureux, modestes. Sa mère s'occupant de son fils du mieux qu'elle pouvait. Son père fondant une entreprise comme il l'essayait. Et puis, un jour, ils comprirent que ce petit garçon qu'ils avaient élevé tant bien que mal était vivant et conscient. Mordre ? C'était ce qu'il faisait à longueur de journée. Peut-être était-ce un yokaï ? Un chien ? Un démon ? Tous se posaient d'innombrables questions à son sujet. Maxi, comme seule sa mère l'appelait de cette façon, mordait tout ce qui lui passait sous le nez. Le bras d'un enfant, les meubles, des livres, et même la main de sa mère. Il y avait réellement un problème. Il avait quelque chose, c'en était certain. Calme et serein, son père refusa qu'on l'emmène consulter un médecin. C'était comme s'il cachait quelque chose, mais sa femme ne se posa plus de questions durant quelques années. C'était presque devenu une habitude, de le voir mordiller de tout et du n'importe quoi, ce petit Maxi. Et puis, durant l'école primaire, ce fut l'horreur. Un cauchemar ambulant, ce petit garçon. Les professeurs le montraient du doigt, et son Directeur le convoquait tous les soirs, menaçant de le renvoyer. La première fois fut révélateur pour les parents, qui n'étaient au courant de rien de ce qui se passait dans la classe de leur fils.
- Monsieur, avez-vous demandé à nous voir ?
Le visage crispé, Solène se demandait pourquoi on avait demandé à les voir, elle, son mari, et surtout, son fils, son petit Maxi, son petit Lapin, son petit Chat, comme elle l'appelait. Maximiliam, le visage enfoui entre ses mains, était assis par terre, le dos contre le bureau foncé du Directeur, comme s'il savait quelque chose de plus qu'eux. Miguel, lui, était tranquille, posé et ne bougeait pas, attendant simplement, d'un air blasé, qu'on lui annonce ce qu'il se passait.
- Je vais laisser le petit Maximiliam raconter ce qui s'est passé, je pense., ordonna le Directeur d'une voix glaciale, entraînant un lourd soupir, qui fit frissonner le petit garçon, toujours au sol.
Raconter tout cela ? Il ne s'en sentait peut-être pas capable. Ensuite, qu'est-ce qu'il allait arriver, hein ? Relevant la tête, il observa le dehors, à travers la fenêtre. Il n'y avait plus personne dans l'école. Tout le monde était rentré chez lui. Personne ne pouvait rien entendre excepté ses parents et le Directeur, qui était déjà au courant de tout. Tant pis. Il ne fallait pas qu'il garde le silence. A l'époque, il avait 1O ans.
- Il y a une fille. Saràh. Je... Je crois que je l'aime bien. Il y a un garçon. Paul. Lui, je l'aimais bien aussi. Mais je le déteste, maintenant. Il a emmené Saràh et il lui a fait un câlin. Je n'étais pas content du tout. Là, mon poing est parti. Je n'ai pas pu résister longtemps. C'était sa tempe. Et, là, il est... Il est dans... Il est mort.
Il n'osa pas relever la tête. Non, cet enfant n'était pas mort, il fallait se rassurer. Immédiatement, le Directeur renvoya les parents et l'enfant chez lui, simplement avec un avertissement. Ses colères et ses pulsions commençaient tout juste à faire surface, et déjà, ses parents s'inquiétaient et cela avait des conséquences sur sa propre vie. Paul, un ami, était en fait simplement dans le comas. Ils déménagèrent quelques mois plus tard. Porter ce lourd fardeau était trop lourd pour Solène, sa mère, très sensible au regard des autres, mais également très compréhensive de la réaction de son fils. Les premiers amours faisaient toujours mal.
Quelques années stupides d'horreur de plus en plus terribles sont passées à nouveau. Toujours, de plus en plus, Maxi devenait violent. Au lycée, personne ne lui parlait, et, il eut une grosse période de phobie scolaire, ce qui fit qu'il abandonna ses études. Il avait peur de la foule, des gens, de tout ce monde qu'il était obligé de croiser chaque jour, le montrant du doigt, ou hurlant dès que son poing se levait un peu de sa manière habituelle. Et puis, un jour, il se découvrit un don. Il arrivait à lire les pensées de ses camarades de classe et de ses parents. Mais ce n'était pas forcément très agréable, surtout lorsque ces pensées divaguaient sur lui-même. Entendre du mal de lui constamment alors que personne ne disait rien n'avait fait qu'accentuer le fait de son agoraphobie. Et puis, finalement, il est devenu ce qu'il est aujourd'hui.

And in real life ?

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PRENOM : S... T'as cru que j'allais le dire ? AGE : Entre O et 2O ans. AVATAR : Hibari de KHR. TU FAIS DU RPG DEPUIS LONGTEMPS ? Depuis cet été, mais j'ai un bon niveau. COMMENT TU AS CONNU LE FORUM ? Par Constance. UNE QUESTION, SUGGESTION ? Rien de spécial. Les couleurs du design ne vont peut-être pas très bien avec le Contexte, je suppose. ET LE CODE DU RÈGLEMENT ALORS?Validée par Angel'

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